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DIC'EAU
   petites définitions pour mieux comprendre les mots de l'eau
 
   En vous baladant sur ce site, vous pouvez tomber sur un mot dont vous ne comprenez pas très bien le sens. Heureusement, le Dic'eau est là pour vous aider! Cliquez sur un des liens ci-dessous pour aller directement à la lettre par laquelle commence le mot qui vous pose problème.
 
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  S comme
S.A.G.E. : voir schéma d'aménagement et de gestion des eaux.

Saprophyte :
se dit de toute bactérie qui vit dans l'organisme sans être pathogène. Par exemple, les Streptocoques fécaux sont des germes saprophytes qui vivent dans l'intestin de l'homme et des animaux, ils ne sont pas considérés comme pathogènes.

Saturation :
moment où un liquide ne peut plus contenir (dissoudre) une autre substance.

Saturnisme :
intoxication aiguë ou chronique par le plomb ou par ses dérivés.

Saveur : sensation produite par certains corps sur l'organe du goût.

Schéma d'aménagement et de gestion des eaux : il a pour but d'engager une gestion qui tend à concilier de façon équilibrée la satisfaction des différents usages avec la protection et la mise en valeur des écosystèmes aquatiques sur un périmètre déterminé. Les objectifs principaux d'une telle démarche sont d'améliorer la qualité des eaux et de sauvegarder des espèces animales et végétales. Une gestion concertée sur l'ensemble du bassin versant permet d'avoir une coordination technique et financière entre tous les usagers de l'eau, et d'instaurer durablement une culture commune de l'eau.
   Le S.A.G.E. est élaboré par une Commision Locale de l'Eau (C.L.E.) présidée par un élu. Les études nécessaires à un S.A.G.E. peuvent être prises en charge et financée par des partenaires publics (collectivités, agence de l'eau, Etat) et des organismes associatifs ou professionnels. La C.L.E., qui n'est pas un maître d'ouvrage, est un centre d'animation, de débat et d'arbitrage. A l'issue de sa préparation, le S.A.G.E. est approuvé par arrêté préfectoral aprés une phase de consultation. Toutes les décisions prises dans le domaine de l'eau par les services de l'Etat et les collectivités publiques devront alors être compatibles avec le S.A.G.E. mais il n'est pas opposable aux tiers.
   Le S.A.G.E. devient la référence obligatoire pour lm'application de la réglementation. Il identifie les priorités pour atteindre les objectifs qu'il a fixés, les maîtres d'ouvrage possibles et évalue les moyens économiques et financiers nécessaires. La C.L.E. suit la mise en oeuvre du S.A.G.E. et les résultats obtenus sur l'eau et les milieux aquatiques et en rend compte chaque année. Enfin, le S.A.G.E. doit respecter les dispositions prévues par le S.D.A.G.E..

Schéma de cohérence territoriale : le S.Co.T. prévoit à l'échelle de plusieurs communes (généralement regroupées en communauté) les orientations des Plans Locaux d'Urbanisme (P.LU.) spécifiques à chaque commune. Il s'agit d'un document de planification créé par la loi S.R.U.. Il remplace le schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme et a pour objectif de renforcer la cohérence entre les politiques d'habitat, d'urbanisme, de développement économique et de transport tout en respectant les principes du développement durable.
   Concrètement, le S.Co.T. identifie les espaces réservés aux nouveaux logements, entreprises et aménagements publics (routes, crêches...) en localisant les parcelles cadastrales desservies ou non par les réseaux divers (eau, assainissement, électricité, télécommunications...).
   Le périmètre du S.Co.T. est validé par le Préfet, représentant de l'Etat, et doit être révisé tous les 10 ans. Il se compose d'un rapport de présentation (diagnostic) et d'un document d'orientation précisant les objectifs à atteindre en terme d'organisation de l'espace.

Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux : créé par la loi sur l'eau de 1992 et officiellement entré en vigueur en 1997, il trace les orientations d'une politique nouvelle de l'eau. Son principe consiste à établir des priorités fortes à l'échelle des six grands bassins versants français : Adour-Garonne, Artois-Picardie, Loire-Bretagne, Rhin-Meuse, Rhône-Méditerranée-Corse et Seine-Normandie (il n'y a donc que six S.D.A.G.E. en France). Les services de l'Etat, les collectivités territoriales et leurs établissements publics doivent en tenir compte pour toutes leurs décisions concernant l'eau et les milieux aquatiques. Ce schéma directeur coordonne et oriente les initiatives locales de gestion collective : S.A.G.E., contrats de rivières, contrats littoraux, plans d'actions.... Il favorise ainsi la complémentarité des actions sur le terrain et la convergence des dépenses publiques sur des objectifs communs.
    Les priorités du S.D.A.G.E. visent une gestion équilibrée. La stratégie des S.D.A.G.E. consiste à concilier le développement équilibré des différents usages de l'eau avec la protection de ce patrimoine commun.

S.Co.T. : voir Schéma de Cohérence Territoriale.

S.D.A.E.P. : Syndicat Départemental d'Alimentation en Eau Potable.

S.D.A.G.E. : voir schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux.

Sécheresse : période prolongée pendant laquelle on ne note pas ou peu de précipitations, elle est un phénomène accidentel, de périodicités et de durées variables, due à un déficit plus ou moins prononcé des précipitations. Il ne faut pas confondre à l'aridité. Celle-ci est un phénomène permanent pendant des périodes très longues. Elle est le propre d'un bon tiers des terres et affecte environ 15 % de la population mondiale.

Sectorisation du réseau : elle consiste à subdiviser le réseau en plusieurs zones distinctes de par leur implantation géographique et la configuration de la distribution. Les zones ainsi définies sont constituées à leur entrée par un ou plusieurs compteurs d'eau divisionnaires (placés dans des regards en des points stratégiques du réseau) et à leur sortie par zéro ou plusieurs compteurs divisionnaires. La différence entre les volumes d'eau mesurés à l'entrée d'une zone et à la sortie correspond à la consommation d'eau par les abonnés situés dans cette zone. La sectorisation du réseau permet de prélocaliser les fuites d'eau sur le réseau. Cette technique ne fonctionne que sur les réseaux ramifiés comme c'est le cas au Syndicat de la Faye.

Sécurité d'alimentation en eau potable : ensemble des mesures internes à une unité de distribution (système A.E.P.) visant à alimenter les usagers dans des situations critiques ou de crise (pollution accidentelle de la ressource, pénurie d'eau, intrusion par infraction dans un réservoir...) : interconnexions de réseaux, recours à des ressources d'eau différentes...
   Ces solutions de secours à mettre en oeuvre doivent être énumérées dans le plan de secours spécialisé élaboré par l'administration départementale. Par extension, il s'agit d'être capable d'assurer l'approvisionnement en eau potable des populations dans toutes les circonstances.

Sédimentation : dépôt des matières en suspension ou en dissolution dans un liquide.

S.E.M.A. : Service de l'Eau et des Milieux Aquatiques.

Service public de l'assainissement non collectif : le S.P.A.N.C. est un outil instauré par la loi sur l'eau de 1992. Les communes doivent gérer le S.P.A.N.C. depuis le 31 décembre 2005. Il a pour objectifs d'assister et de conseiller les particuliers, de sensibiliser le grand public et de contrôler les dispositifs neufs ou existants (fosses sceptiques, épandages). Pour cela, les personnes responsables du S.P.A.N.C. émettent un avis sur les projets des particuliers et la conformité de leurs dispositifs. Ils réalisent un zonage d'assainissement de la commune, ce qui permet d'identifier les zones d'assainissement non collectif, puis ils iindiquent les filières de traitement à mettre en oeuvre.
   Le S.P.A.N.C. ne s'occupe que du contrôle des installations d'assainissement non collectif mais ne se charge pas de la réalisation, de la réhabilitation ou de l'entretien des fosses sceptiques. Le financement de ce service est assuré par une redevance annexée à la facture d'eau dans les communes ayant mis un S.P.A.N.C..

Servitude : charge ou contrainte imposée sur une propriété pour l'usage ou l'utilité d'une autre qui n'appartient pas au même propriétaire. Dans le cadre de la procédure de périmètre de protection, il s'agit de contraintes visant à protéger la ressource en eau en limitant les activités polluantes comme l'agriculture ou l'industrie.

S.I.A.E.P. : Syndicat Intercommunal d'Alimentation en Eau Potable.

S.I.E.A. : Syndicat Intercommunal Eau et Assainissement.

Siphon : tube recourbé utilisé pour transvaser un liquide et le faire passer d'un niveau à l'autre plus bas en l'élevant d'abord au-dessus du niveau le plus haut.

S.M.E.A. : Syndicat Mixte Eau et Assainissement.

Sodium : métal alcalin blanc et mou très répandu dans la nature à l'état de chlorure (sel marin) et de nitrate.

Solidarité et renouvellement urbain : la loi S.R.U. du 13 décembre 2000 a pour but de répondre au problème que les villes d'aujourd'hui sont différentes de celles d'il y a 50 ans. Cette loi veut lutter contre la péri-urbanisation et le gaspillage de l'espace en favorisant le renouvellement urbain. Cette loi offre aux décideurs publics un cadre juridique pour développer l'urbanisme, elle comporte trois volets qui sont :
   - l'urbanisme : l'objectif est de rénover les documents d'urbanisme avec le Schéma de Cohérence Territoriale (S.Co.T.) qui encadre les Plans Locaux d'Urbanisme (P.L.U.). La loi S.R.U. oblige à une concertation avec la population.
   - l'habitat : l'objectif de ce volet de la loi S.R.U. est de renforcer la solidarité entre les villes en imposant par exemple 20% de logements sociaux et de lutter contre l'insalubrité dans l'habitat.
   - le déplacement : l'objectif est d'harmoniser les déplacements et les transports en cohérence avec le principe de développement durable. Ce volet de la loi autorise les communes à se regrouper pour gérer les transports et elle confie aux régions l'organisation des services ferroviaires régionaux.
   La loi S.R.U. a été modifiée le 2 juillet 2003 par la loi Urbanisme et habitat (U.H.) qui a modifié, entre autre, l'opposabilité du Projet d'Aménagement et de Développement Durable (P.A.D.D.) et instauré la Participation pour Voirie et Réseaux.

Solidification : passage de l'état liquide à l'état solide.

Solubilité : plus ou moins grande facilité avec laquelle un corps se dissout dans l'eau.

Solution : liquide dans lequel se trouve dissoute une substance solide.

Solvant : substance qui a le pouvoir de dissoudre d'autres substances.

Sonde de niveau : appareil permettant de mesurer le niveau d'eau dans un réservoir. Il en existe de deux sortes : les sondes de niveau à ultrasons et les sondes de niveau piézométrique. Les sondes de niveau à ultrasons mesurent le temps de parcours de l'onde ultrasonore réfléchie sur la surface de l'eau. Les sondes de niveau piézométrique détectent des variations de niveau d'eau dans les réservoirs à l'aide de capteur de pression constitué d'une membrane élastique se déformant sous l'effet de la pression. Chacun de ces deux types de sondes transforme leur mesure en grandeur électrique qui est ensuite rapatriée vers les enregistreurs de la télégestion.

SONDE DE NIVEAU A ULTRASONS

Sondes de niveau à ultrasons


SONDES DE NIVEAU PIEZOMETRIQUE

Sondes de niveau piézométrique

Source : terme générique qui désigne l'émergence naturelle d'une eau souterraine en surface ou en sous-sol.

Sourcier : personne capable de détecter la présence de courants d'eau souterrains (et parfois même leurs débits) grâce à la radiesthésie.

Le sourcier radiesthésiste

Le sourcier radiesthésiste
 
Sous-solage : opération pratiquée par les forestiers consistant à casser la structure profonde du sol à l'aide d'une dent pour faciliter l'aération et le drainage naturel d'un terrain.

S.P.A.N.C. :
voir Service Public de l'Assainissement Non Collectif.

Sprinklers :
asperseurs montés au plafond sur des rampes servant à la protection incendie dans des lieux publics, magasins ou entrepôts.

S.R.U. :
voir la loi sur la Solidarité et le Renouvellement Urbain.

Stabilisateur d'écoulement :
tranquilise l'écoulement de l'eau pour une bonne métrologie (compteur Woltmann axial).

Stabilisateur de pression :
voir pression.

Station d'épuration : une station d'épuration est installée généralement à l'extrémité d’un réseau d’assainissement ou de collecte des eaux usées. Elle rassemble une succession de dispositifs dont chacun est conçu pour extraire au fur et à mesure les différents polluants contenus dans les eaux. Les eaux épurées retournent ensuite dans le milieu naturel.

Station de jaugeage : installation de mesure du niveau de l'eau grâce à des appareils enregistreurs de hauteur d'eau.

Station météorologique : c'est le lieu où l'on recueille à l'aide d'instruments très précis des informations permettant de prévoir le temps, et des données pour caractériser le climat du lieu.

Stockage : au cours d'une journée ordinaire, la consommation d'eau, comme celle d'électricité, passe par des hauts et des bas. La vie sociale impose ses rythmes. Il y a des heures intenses où, comme un seul homme, toute une population fait sa toilette ou sa cuisine, et des heures creuses durant lesquelles la demande est presque nulle. A quatre heures du matin les robinets sont fermés et les égoûts sont vides.
   Or, l'eau potable est "produite" de manière à peu près constante. Qu'elle provienne des captages de nappes ou des usines qui traitent l'eau de rivière, les conduites l'amènent de façon régulière, sans à-coups. Il est donc nécessaire d'installer des réservoirs tout au long du réseau de distribution si l'on veut éviter les coupures. On s'efforce toujours de les installer sur les points hauts. L'eau y est ainsi maintenue en pression par le simple effet de la gravité. En cas de panne de courant, qui rendrait les pompes inopérantes, le service ne s'interrompra pas. S'il n'existe pas de points hauts, on les perche sur une tour, clous mal enfoncés plantés dans le paysage et on les appelle châteaux d'eau.
   Dans les villes alimentées exclusivement par de l'eau de rivière, la distribution souffre d'une fragilité supplémentaire. Qu'une péniche chargée de produits toxiques chavire ou qu'un camion se renverse sur les berges, et la matière première de l'usine de traitement est inutilisable. Aussi procède-t-on aujourd'hui par double stock : à l'amont de l'usine avec des eaux non encore traitées et à l'aval de l'usine avec de l'eau potable.

Strate : étage de végétation défini par une fourchette de hauteur.

Stratus : nuage qui s'étale en couche.

Stripping : procédé de transfert liquide/gaz utilisé dans le traitement de l'eau potable qui permet de faire transférer, par mise en contact de l'eau à traiter avec un flux d'air, des micropolluants organiques volatils de la phase liquide dans la phase gazeuse. Ce procédé est employé pour éliminer les composés organochlorés : le 1-2-dichloroéthane, le trichloroéthylène, le tétrachloroéthylène, le chloroforme... Il peut également contribuer à diminuer l'odeur de l'eau en agissant sur les composés cités ci-dessus ou sur d'autres porduits odorants, volatils et relativement insolubles dans l'eau ayant un seuil olfactif bas comme des composés soufrés, aminés, carbonylés ou des hydrocarbures. Deux techniques sont possibles : l'insufflation de fines bulles d'air dans l'eau comme dans le procédé de flottation ou le passage de l'eau dans une colonne d'air.

Sublimation : transformation de la glace en vapeur d'eau.

Substance à risque toxique : substance qui, à certaines concentrations dans l'eau, présente un risque pour la santé publique, la santé animale ou pour des êtres vivants et des écosystèmes en général. Certaines substances et leurs effets sont relativement bien identifiés (métaux lourds, certains micropolluants). Pour d'autres, le risque pour la santé publique et les écosystèmes est difficile à apprécier, ce qui conduit par prudence à recourir au principe de précaution. On parle ainsi de "risque toxique".

Surpresseur : pompe spéciale que l'on ajoute dans un circuit ou un réseau d'alimentation en eau potable pour augmenter la pression. La pompe est toujours accompagnée d'un ballon ou réservoir hydropneumatique. Le surpresseur peut être à vitesse fixe ou variable asservi au débit demandé ou à la pression du réseau.

Surpression : c'est le fait de mettre en pression un réseau à l'aide de pompes et de réservoirs hydropneumatiques pour pouvoir alimenter tous les habitants d'un immeuble.

Surverse : voir trop-plein.

Survitesse : se dit lorsque le débit d'eau dans une conduite augmente trop rapidement (à cause d'une fuite par exemple). Un état de survitesse peut avoir des conséquences désastreuses sur un réseau de distribution avec notamment la vidange des réservoirs. Pour éviter ce phénomène, on peut utiliser un appareil hydraulique appelé vanne de survitesse qui va obturer la canalisation en cas de débit trop fort. Le fonctionnement de cet appareil est simple. Une première partie constituée d'une palette est installée en amont de la vanne de survitesse et sert de servocommande. La deuxième partie est constituée par la vanne elle même. Les deux parties sont reliées entre elles par un tuyau flexible qui permet un transfert d'huile afin de déclencher la fermeture de la vanne. Un fort débit d'eau entraîne le basculement de la palette, un verrin hydraulique déclencheur actionne alors un bras qui va fermer la vanne. Le schéma suivant vous montre comment fonctionne cet appareil :

Principe de fonctionnement d'une vanne de survitesse


Schéma de fonctionnement d'une vanne de survitesse
Modèle : SECURAM (Ramus Industrie)

Suspension : solide séparé en petites unités, mélangé à un liquide sans être dissous par lui.

Syndicat :
collectivité territoriale et établissement public de coopération intercommunale, le syndicat est la plus ancienne forme de coopération intercommunale. Il est géré de la même façon que toutes les collectivités territoriales à savoir qu'il possède une assemblée délibérante (le comité ou le conseil) et une instance exécutive (le président et ses vice-présidents). Les syndicats peuvent être de plusieurs formes :
      - les S.I.V.U. : Syndicats Intercommunaux à Vocation Unique. Créés en 1890, ils ne peuvent exercer qu'une seule compétence, ce qui est le cas du S.I.A.E.P. de la Faye.
      - les S.I.Vo.M. : Syndicats Intercommunaux à Vocation Multiple. Créés dès 1959, ils peuvent exercer plusieurs compétences et les communes ne sont pas obligées d'adhérer à toutes les compétences.
      - les Syndicats Mixtes : créés en 1935, ils regroupent différents de collectivités comme par exemple des communes avec des communautés de communes ou des communes avec des départements. Il existe des syndicats mixtes fermés regroupant uniquement des communes et des groupement de communes, et des syndicats mixtes ouverts regroupant des communes avec des régions ou des départements.
      - S.A.N. : Syndicats d'Agglomération Nouvelle : créés en 1983 pour résoudre les problèmes d'urbanisation des grandes métropôles. Il n'y en a que 6 en France.

Synoptique :
représentation graphique et schématique d'un réseau d'alimentation en eau potable. Vous pouvez visualiser le synoptique du réseau du Syndicat de la Faye en cliquant ici.

Système aquifère :
ensemble de terrains aquifères constituant une unité hydrogéologique. Ses caractères hydrodynamiques lui confèrent une quasi indépendance hydraulique (non-propagation d'effets en dehors de ses limites). Il constitue donc à ce titre une entité pour la gestion de l'eau souterraine qu'il renferme.
 

 

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