 |
|
En vous baladant sur ce site,
vous pouvez tomber sur un mot dont vous ne comprenez pas très
bien le sens. Heureusement, le Dic'eau est là pour vous aider!
Cliquez sur un des liens ci-dessous pour aller directement à
la lettre par laquelle commence le mot qui vous pose problème. |
|
|
|
|
|
Z.N.I.E.F.F. : voir Zones
Naturelles d'Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique.
Zone d'alimentation : zone depuis laquelle l'eau de pluie
s'écoule vers une rivière, un lac ou un réservoir.
Zone d'expansion des crues : espace naturel ou aménagé où
se répandent les eaux lors du débordement des cours d'eau dans leur
lit majeur. Le stockage momentané des eaux écrête la crue en étalant
sa durée d'écoulement. Ce stockage participe au fonctionnement des
écosystèmes aquatiques et terrestres. En général on parle de zone
d'expansion des crues pour des secteurs non ou peu urbanisés et
peu aménagés.
Zone de captage : périmètre
sourcier ou champ captant.
Zone humide : terrains exploités ou non, habituellement
inondés ou gorgés d'eau douce, salée ou saumâtre
de façon permanente ou temporaire. Ces zones sont des espaces
de transition entre la terre et l'eau. Comme tous ces types d'espaces
particuliers, il présente une forte potentialité biologique
(faune et flore spécifique) et ont un rôle de régulation
de l'écoulement et d'amélioration de la qualité
des eaux.
Zone sensible : bassin versant dont des masses d'eau
significatives à l'échelle du bassin, sont particulièrement sensibles
aux pollutions. Il s'agit notamment de celles qui sont sujet à l'eutrophisation
et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux
substances, doivent être réduits. Les cartes des zones sensibles
ont été arrêtées par le Ministre chargé de l'Environnement et sont
actualisées au moins tous les 4 ans dans les conditions prévues
pour leur élaboration.
Zones de répartition des eaux : zones comprenant
les bassins, sous-bassins,
fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères
définis dans le décret du 29 avril 1994. Ce sont des
zones où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle
des ressources par rapport aux besoins. Elles sont définies
afin de faciliter la conciliation des intérêts des
différents utilisateurs de l'eau.
Les seuils d'autorisation et de déclaration
du décret nomenclature y sont contraignants. Dans chaque
département concerné, la liste des communes incluses
dans une zone de répartition des eaux est constatée
par arrêté préfectoral. Pour mémoire,
ces zones sont situées dans le bassin Adour-Garonne (5 sous-bassins
et 6 fractions de sous-bassins), dans le bassin Loire-Bretagne (7
sous-bassins) et dans le bassin Rhône-Méditerranée-Corse
(2 sous-bassins).
Zones naturelles d'intérêt écologique,
faunistique et floristique : zones naturelles présentant
un intérêt écologique, faunistique ou floristique particulier ayant
fait l'objet d'un inventaire scientifique national sous l'autorité
du Muséum National d'Histoire Naturelle pour le compte du Ministère
de l'Environnement. Deux types sont ainsi recensés : les zones
de type I d'intérêt biologique remarquable et les zones de type
II recouvrant les grands ensembles naturels. A ce jour, l'inventaire
des Z.N.I.E.F.F. concerne par exemple : les zones humides,
cours d'eau, marais, tourbières, landes,...
Zones vulnérables : zones désignées comme vulnérables
compte-tenu notamment des caractéristiques des terres et des eaux
ainsi que de l'ensemble des données disponibles sur la teneur en
nitrate des eaux, les zones qui alimentent les eaux ainsi définies :
- atteintes par la pollution :
les eaux souterraines
et les eaux douces superficielles, notamment celles servant au captage
d'eau destinée à la consommation humaine, dont la teneur en nitrate
est supérieure à 50 milligrammes par litre,
les eaux des estuaires,
les eaux côtières et marines et les eaux douces superficielles qui
ont subi une eutrophisation susceptible d’être combattue de
manière efficace par une réduction des apports en azote,
- menacées par la pollution :
les eaux souterraines
et les eaux douces superficielles, notamment celles servant au captage
d'eau destinée à la consommation humaine, dont la teneur en nitrate
est comprise entre 40 et 50 milligrammes par litre et montre une
tendance à la hausse,
les eaux des estuaires,
les eaux côtières et marines et les eaux douces superficielles dont
les principales caractéristiques montrent une tendance à une eutrophisation
susceptible d'être combattue de manière efficace par une réduction
des apports en azote.
Le préfet coordonnateur de bassin, après avis
du Comité de Bassin, arrête la délimitation des zones vulnérables.
Cette délimitation fait l'objet d'un réexamen au moins tous les
4 ans.
Zooplancton : petits animaux invertébrés
souvent microscopiques, vivant en suspension dans leau. |
|
|
|