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DIC'EAU
   petites définitions pour mieux comprendre les mots de l'eau
 
   En vous baladant sur ce site, vous pouvez tomber sur un mot dont vous ne comprenez pas très bien le sens. Heureusement, le Dic'eau est là pour vous aider! Cliquez sur un des liens ci-dessous pour aller directement à la lettre par laquelle commence le mot qui vous pose problème.
 
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  R comme
Rabbatement de nappe : abaissement en un point du niveau pièzométrique sous l'effet d'un prélèvement d'eau dans la nappe, de l'abaissement d'une ligne d'eau, d'un cours d'eau en relation avec la nappe ou sous l'effet de travaux de terrassement.

Raccordement :
court tronçon de tuyau, de canalisation, servant à relier deux tuyaux, deux canalisations distinctes.

Radar géologique :
méthode de détection des conduites non métalliques enfouies dans le sol et constituant le réseau de distribution d'eau potable. Cette technique, issue de la prospection minière, consiste à émettre dans le sol une onde électromagnétique qui est réfléchie par l'interface des couches de terrain ou par la présence de réseaux enterrés. Cette réflexion est captée puis interpolée pour être visualisée sur un écran de contrôle. Cette technique très onéreuse n'est pas encore très au point pour la localisation de canalisations enterrées.

Radiation :
onde d'énergie (chaleur, lumière, radio) envoyée à travers l'espace.

Radier :
partie d'un cours d'eau sans profondeur sur laquelle l'eau coule rapidement. C'est aussi le nom que l'on donne au fond d'un ouvrage, captage ou réservoir.

Radiorelève :
la radiorelève est un système permettant de relever l'index des compteurs d'eau, et notamment ceux des abonnés, à distance. Ce procédé récent permet de relever les compteurs d'eau même quand l'abonné est absent ce qui facilite le travail de facturation (et ce qui évite les estimations). La radiorelève s'effectue à l'aide d'un terminal portable équipé d'une tête d'émission-réception radio. Les compteurs sont quant à eux équipés d'un module radio totalement étanche. La radiorelève permet également de récupérer les données collectées sur un ordinateur. On parle de télérelève lorsque la relève ne se fait pas par une personne équipée d'un terminal portable (relève ambulante) mais par radiofréquence puis par un autre procédé de télécommunication (téléphone RTC, GSM, internet...) jusqu'à l'ordinateur de gestion des données.

Principe de la radiorelève

Principe de la radiorelève
 
Compteur d'eau équipé d'un module radio

Compteur d'eau équipé d'un module radio
pour la radiorelève
 
Radon : le radon est un gaz qui provient de la désintégration de l'uranium et du radium présents dans la couche terrestre. Les sols granitiques libèrent plus de radon que les sols sédimentaires. Ce gaz, dissout dans l'eau, peut faire l'objet d'une recherche dans le cadre de la mesure de la radioactivité. Très volatile, le radon s'échappe rapidement de l'eau dès que celle-ci est à l'air libre. Le radon pénètre dans l'organisme par l'air inhalé et plus rarement par l'eau de boisson.

Rayon vert :
ce rayon est observé très rarement. Il s'agit d'une coloration verte lumineuse et de courte durée, que l'on peut voir en mer ou au bord de la mer, au moment où le soleil se couche à l'horizon.

Réactif :
substance employée pour réagir avec une ou plusieurs espèces chimiques en solution.

Réception des travaux :
acte par lequel le maître d'ouvrage déclare accepter l'ouvrage construit par l'entrepreneur sous les ordres du maître d'oeuvre. La réception des travaux se décompose en quatre étape :
   - l'entrepreneur demande la réception au maître d'ouvrage et au maître d'oeuvre en déclarant la fin de ses travaux.
   - le maître d'oeuvre vérifie les ouvrages exécutés.
   - le maître d'oeuvre donne des propositions au maître d'ouvrage quant à l'état des ouvrages commandés, il propose des réserves et une date de fin des travaux.
   - décision du maître d'ouvrage.

Rechloration :
introduction d'un produit à effet bactériostatique rémanent à l'invers e de la désinfection.

Recommandation :
en attirant l'attention sur un point particulier, les recommandations ont pour objet de permettre une meilleure application de politiques existantes ou bien encore la mise en oeuvre d'une politique nouvelle soutenue par le S.D.A.G.E..

Récupération des coûts : principe promu par la directive cadre sur l'eau et visant à ce que les utilisateurs de l'eau supportent autant que possible, principalement au travers du prix de l'eau, les coûts induits par leurs utilisations de l'eau : investissements, coûts de fonctionnement et d'amortissement, coûts environnementaux, etc. Ce principe est aussi appelé "recouvrement" des coûts, même si la "récupération" des coûts est le terme officiel de la directive. La directive cadre sur l'eau fixe deux objectifs aux Etats membres en lien avec le principe de récupération des coûts :
   - pour fin 2004, dans le cadre de l'état des lieux : évaluer le niveau actuel de récupération, en distinguant au moins les trois secteurs économiques : industrie, agriculture et ménages,
   - pour 2010, tenir compte de ce principe, notamment par le biais de la tarification de l'eau. Si la directive a une exigence de transparence du financement de la politique de l'eau, en revanche, elle ne fixe pas d'obligation de récupération totale des coûts sur les usages.

Recyclage : action de remettre l'eau usée dans le cycle naturel après l'avoir dépolluée.

Redevance : somme d'argent due en contrepartie d'un droit d'usage ou d'un service particulier comme le service de distribution d'eau potable.

Reducteur de pression : voir régulateur de pression.

Référence de qualité : en matière de normes à respecter pour l'eau potable, une référence de qualité est une valeur indicative à satisfaire, établie à des fins de suivi des installations de production et de distribution d'eau et d'évaluation des risques pour la santé des personnes, par opposition à une limite de qualité. Les références de qualité concernent 25 paramètres (coliformes totaux, dureté de l'eau...).

Régie directe : lorsqu'une commune assure le service de l'eau par ses moyens propres, elle opère en régie directe, que l'on appelle couramment régie municipale.

Régie intéressée : voir délégation de service.

Région : collectivité territoriale au même titre que les communes, les régions ont été créées en 1982. Une région est dirigée par un conseil régional (instance délibérante) composé de membres élus au suffrage universel. Ces derniers élisent en leur sein le président du conseil régional qui constitue avec ses vice-présidents une commission permanente (instance exécutive). Le président du conseil régional est élu pour 6 ans. Le conseil régional a différentes mission dont :
   - le développement régional.
   - le choix des investissements à réaliser par les collectivités.
   - l'achat des équipement régionaux.
   - l'attribution des aides fiancières pour l'emploi.
   - la subventions des entreprises régionales.
   - l'action en terme d'infrastructures et de transport.
   - la formation initiale, continue et professionnelle avec notamment la gestion des lycées.
   Les attributions de la région sont de différents types, notamment budgétaires, relatives aux services publics, économiques, culturelles, relatives à l'aménagement du territoire et à la formation professionnelle. Les recettes de la région proviennent de taxes locales et de dotations de l'Etat dans le cadre de la décentralisation. Le Syndicat de la Faye se situe dans la Région Auvergne mais le Conseil Régional d'Auvergne n'apporte aucune aide financière pour les travaux d'alimentation en eau potable.

Registre des zones protégées : registre établi à l'échelle d'un bassin hydrographique identifiant les zones désignées comme nécessitant une protection spéciale dans le cadre de la législation communautaire en vigueur : zones vulnérables (directive nitrates), zones sensibles (directive eaux résiduaires urbaines), zones désignées au titre de la directive Natura 2000, etc. L'échéance pour établir le registre des zones protégées est décembre 2004. Ce registre doit ensuite être régulièrement mis à jour.

Règlement d'eau : règlement qui régit les modalités d'exploitation des barrages ou des installations hydrauliques en général. A partir de 1995, approuvé par arrêté préfectoral, il est établi à l'issue d'une enquête publique. Il mentionne les règles de gestion des ouvrages (débit minimal, débit réservé, lachûre,...). Pour les ouvrages de soutien d'étiage (en situation normale et en situation de crise), il doit permettre de préciser comment la ressource en eau sera partagée entre les prélèvements et le débit maintenu dans les cours d'eau.

Régularisation des cours d'eau : action de créer et/ou de gérer un ensemble d'aménagements sur le cours d'eau ou le bassin versant visant à réduire les variations du régime hydrologique d'un cours d'eau (étiage prononcé, crue torrentielle,...).

Régulateur : appareil comprant la mesure (signal venant du capteur) à la consigne qui a été programmée. C'est lui qui pilote le système, il donne les ordres au variateur de fréquence dans le cas d'un surpresseur à vitesse variable. Il agit toujours de façon à ce que la mesure égale la consigne.

Régulateur de pression : voir pression.

Régulation : dans un réseau de distribution d'eau potable, de nombreux paramètres permettent de contrôler l'état de l'alimentation en eau, il s'agit à la fois de la pression de l'eau, du débit ou du niveau de l'eau dans les réservoirs. La gestion de ces différents facteurs forme la régulation de la distribution d'eau potable dans un réseau. Pour réguler la pression de l'eau dans un réseau, on utilise généralement un régulateur de pression (pour plus de précision voir au mot pression). Pour réguler le niveau de l'eau dans un réservoir, on emploie un robinet altimétrique (dont la description se trouve à la page consacrée aux autres ouvrages du Syndicat de la Faye). Enfin, on utilise un régulateur de débit pour réguler le débit de l'eau dans les canalisations. Ces trois fonctions peuvent être assurées par un seul et même appareil appelé vanne de régulation multifonction.
   Suivant les options choisies, la vanne de régulation multifonction peut faire office de :
      - régulateur de pression amont
      - régulateur de pression aval
      - régulateur de pression amont et de pression aval en même temps
      - robinet altimétrique
      - robinet altimétrique et régulateur de pression amont en même temps
      - régulateur de débit
      - régulateur de débit et régulateur de pression amont en même temps
      - régulateur de débit et robinet altimétrique en même temps
Le fonctionnement de cet appareil est simple, un ou plusieurs pilotes de commande sont branchés directement sur la chambre d'alimentation de la vanne. Ces pilotes régulent l'échappement de la chambre ce qui a pour conséquence d'ouvrir ou de fermer la vanne. Le type de régulation souhaité est obtenu en changeant le pilote de commande. Le schéma suivant vous montre le principe de fonctionnement d'une des nombreuses configurations possibles de la vanne de régulation multifonction, ici le robinet altimétrique couplé au régulateur de pression amont :
Schéma d'une vanne de régulation multifonction

Schéma de fonctionnement d'une vanne de régulation multifonction (option robinet altimétrique
+ régulateur de pression amont)
Modèle : MULTISTAB (Ramus Industrie)
 

Réhabilitation : consiste à réparer les fonctions endommagées ou bloquées d'un écosystème, en ayant recours à des solutions plus lourds, pour remettre l'écosystème sur sa trajectoire dynamique et rétablir un bon niveau de résilience.

Relation rivière-nappe :
échange d'eau dans un sens ou dans l'autre entre une nappe et un cours d'eau. Suivant le niveau de la ligne d'eau, et les saisons, la nappe alimente le cours d'eau ou est alimentée par celui-ci notamment lors des inondations. Dans le cas de karst, ces relations sont importantes et localisées.

Rémanence :
voir effet rémanent.

Rémanent d'exploitation :
partie des arbres exploités qui reste au sol et n'est pas utilisée comme les branches, l'écorce, les racines...

Remblai :
par opposition à déblai, masse de matériaux rapportés pour élever un terrain, combler un creux ou ouvrage fait de matériaux rapportés.

Renard :
passage emprunté anormalement ou créé par l'eau dans une digue, dans un barrage.

Rendement :
paramètre représentant le rapport entre la quantité d'eau réellement utilisée par les consommateurs et celle introduite dans le réseau. Le rendement permet d'apprécier la qualité d'un réseau en terme de fuites et s'exprime en pourcentage. On retient comme objectif un redement d'environ 80 % en zone rurale et de 90 % en zone urbaine. Ce paramètre doit être calculé par le distributeur d'eau tous les ans. Plus que la valeur du rendement, c'est son évolution qui est à prendre en compte. Ainsi, si la valeur a tendance à diminuer au cours des années, cela signifie que le réseau se dégrade. Ce paramètre est donc très important pour la gestion du réseau mais il n'est pas suffisant pour apprécier avec justesse l'état du réseau car il est très influencé par les grosses consommations comme en période de canicule par exemple, on calculera aussi l'indice linéaire de perte. Pour plus de précisions sur le rendement, allez ici.

Rendement technique du réseau :
voir rendement.

Rendzine :
désigne un sol développé sur une roche-mère calcaire, généralement de faible épaisseur de 18 à 30 cm.

Reprofilage :
opération exécutée par les forestiers consistant à aplanir la surface du sol en lui assurant une pente homogène, de façon à permettre un bon écoulement superficiel des eaux.

Réseau d'assainissement :
ensemble des ouvrages construits par l’homme pour recueillir les eaux usées à l'intérieur d'une agglomération. La majeure partie de ces ouvrages sont des canalisations souterraines. Le réseau d'assainissement est un des éléments constituant du système d’assainissement qui est complété par la station d'épuration des eaux usées. On parle aussi de réseau d’égout.

Réseau de distribution :
ensemble des ouvrages de prélèvements (captage, forage...), d'adduction et de distribution d'eau aux divers utilisateurs.

Réseau de mesure :
dispositif de collecte de données correspondant à un ensemble de stations de mesure répondant à au moins une finalité particulière. Chaque réseau respecte des règles communes qui visent à garantir la cohérence des observations, notamment pour la densité et la finalité des stations de mesure, la sélection de paramètres obligatoires et le choix des protocoles de mesure, la détermination d'une périodicité respectée. L'ensemble de ces règles est fixé dans un protocole. Exemple : Réseau National des Eaux Souterraines, Réseau National de Bassin.

Réseau maillé :
c'est un réseau d'alimentation en eau potable dont les canalisations forment une boucle, appelée maille, autour d'une ville, d'un quartier ou d'une rue ce qui permet, grâce à des vannes, d'isoler une partie de ce réseau sans avoir à fermer l'eau à toute la zone située à l'intérieur de la maille ce qui est très pratique pour réparer une fuite sur une conduite par exemple. Le réseau maillé est l'inverse du réseau ramifié. Excepté dans certains bourgs des communes adhérentes, le réseau principal du Syndicat de la Faye n'est pas un réseau maillé compte tenu de l'habitat dispersé de son territoire. Un réseau maillé permet une sécurité d'approvisionnement car l'eau peut suivre plusieurs cheminements pour arriver à un même point de livraison.

Réseau pluvial :
ensemble des ouvrages construits par l'homme pour recueillir les eaux de pluie à l'intérieur d'une agglomération. Il peut être complété par des réservoirs d'orage, des décanteurs, pour éviter les pollutions déposées sur les sols imperméabilisés.

Réseau ramifié :
contrairement au réseau maillé, le réseau ramifié est un réseau de canalisations d'alimentation en eau potable sans boucle ou maille autour de zone définie (bourg, quartier, rue...) ce qui ne permet pas de réalimenter un secteur donné lorsqu'une réparation s'effectue sur le réseau. Le réseau principal du Syndicat de la Faye est un réseau ramifié, nous sommes donc obligés de fermer l'eau aux habitants lorsque nous réparons une conduite. Plus les conduites sont éloignées du réservoir, plus leur diamètre diminue. D'une conduite principale de gros diamètre partent plusieurs conduites de petits diamètres, c'est ce qu'on appelle un réseau ramifié ou arborescent.

Réserve utile :
la réserve utile correspond à l'eau présente dans le sol qui est utilisable par la plante. Elle est exprimée en millimètres.

Réservoir :
 lieu de stockage de l'eau potable, avant sa mise en distribution. Il peut être enterré ou prendre la forme d'un château d'eau. Il assure trois fonctions :
   - il garantit une pression minimale dans le réseau lorsqu'il est sous forme de château d'eau (10 m de hauteur d'eau donne 1 bar de pression),
   - il assure une sécurité d'approvisionnement en cas d'incident sur le réseau (pollution accidentelle, fuite, incendie...),
   - il sert à stocker l'eau pendant les périodes de faible consommation (la nuit le plus souvent) pour pouvoir répondre à la demande de pointe sans avoir à surdimensionner les installations de production, on dit que le réservoir à un effet tampon sur la consommation d'eau des usagers.
Les châteaux d'eau peuvent prendre différentes formes : hyperbole, cuve conique, colonne, champignon ou à fort encorbellement.

Réservoir hydropneumatique :
associé à une pompe, il forme un surpresseur et permet de fournir de l'eau au réseau lorsque la pompe est arrêtée, d'amortir les coups de bélier au démarrage et à l'arrêt des pompes et d'éviter de maintenir une pompe en marche quand la demande en eau est nulle. Il est aussi appelé ballon. Les nouveaux ballons hydropneumatiques sont équipés d'une membrane élastique (vessie) qui contient l'eau du réseau. Suivant la pression du réseau, cette membrane se remplie ou se vide.

Ressource :
ensemble de potentialités qu'offre le milieu physique, notamment dans les domaines énergétique, minier, forestier etc.

Ressource disponible d'eau souterraine :
taux moyen annuel à long terme de la recharge totale de la masse d'eau souterraine moins le taux annuel à long terme de l'écoulement requis pour atteindre les objectifs de qualité écologique des eaux de surface associées fixés à l'article 4, afin d'éviter toute diminution significative de l'état écologique de ces eaux et d'éviter toute dégradation significative des écosystèmes terrestres associés.

Restauration :
consiste à favoriser le retour à l'état antérieur d'un écosystème dégradé par abandon ou contrôle raisonné de l'action anthropique. La restauration implique que l'écosystème possède encore deux propriétés essentielles : être sur la bonne trajectoire, avoir un bon niveau de résilience. Sans ces conditions : réhabilitation.

Résurgence :
se dit d'une source qui sort du sol avec un débit de rivière, après avoir circulé dans un réseau souterrain creusé naturellement.

Retour d'eau :
il s'agit d'une inversion brutale du sens d'écoulement qui provoque un retour d'une eau éventuellement polluée depuis le poste utilisateur à l'aval vers le réseau principal à l'amont. Ce phénomène peut se produire en cas de siphonnage ou de contrepression.

Rigole :
filet d'eau de ruissellement.

Ripisylve :
boisement naturel qui longe les rives d'un cours d'eau et qui jour un rôle essentiel dans le fonctionnement de l'hydrosystème fluvial, elle régule notamment le cycle du phosphore et de l'azote.

Risque sanitaire :
danger ou inconvénient (immédiat ou à long terme) plus ou moins probable auquel la santé publique est exposée. L'identification et l'analyse des risques liée à un phénomène (inondation, contamination...) permet généralement de prévoir son impact sur la santé publique.

Rive droite - rive gauche :
les rives droite et gauche d'un cours d’eau se définissent par rapport au sens du courant. Un cours d'eau possède ainsi une rive droite et une rive gauche. Proches du cours d’eau, les rives peuvent intégrer des zones humides : anciens bras de rivières, marais…

Rivière :
cours d’eau de faible ou moyenne importance qui se jette dans un autre cours d’eau.

Robinet à flotteur :
accessoire de robinetterie équipant les réservoirs et permettant de contrôler l'alimentation en eau de la réserve et limiter le niveau de celui-ci à une valeur maximale. Voir une description plus détaillée à la page réservoir.

Robinet altimétrique :
équipement hydraulique permettant de contrôler le niveau d'eau dans un réservoir en ouvrant plus ou moins un piston. Vous trouverez plus de détails concernant le robinet altimétrique en allant sur la page des autres ouvrages du Syndicat. Vous trouverez également sur cette page une animation vous expliquant le fonctionnement du robinet altimétrique.

Robinet-papillon :
appareil de réglage de débit et de sectionnement pour les gros diamètres de canalisations (> 300 mm).

Robinet-vanne :
voir vanne.

Rodenticide :
produit qui empêche le développement des rongeurs comme les ragondins, les campagnols, les souris et les mulots ou les détruit. Les rodenticides, comme les autres pesticides, peuvent se retrouver dans l'eau. Ils sont toxiques et parfois cancérigènes.

Rosée : vapeur d’eau qui se dépose, le matin ou le soir, en gouttelettes très fines sur les végétaux et d'autres corps à l'air libre.

Ruissellement : partie des précipitations qui parvient au cours d'eau ou se réunit aux eaux de surfaces (mer, lac, étang...) lorsque l'intensité de la pluie est plus forte que la capacité d'infiltration du sol (sol saturé).

 

 

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